A l’occasion de la sortie de son livre «21 rue de la Boétie», Anne Sinclair se confie dans un entretien au Parisien-Aujourd’hui en France à paraître lundi, et évoque les événements auxquels son couple a été confronté depuis six mois. «Je n’ai pas voulu écrire une biographie classique» explique t-elle.
Anne Sinclair revient notamment sur les difficultsé à faire renouveler ses papiers, du fait qu’elle soit née à New-York. «Oui, on a, un temps, refusé de renouveler ma carte d’identité. Cet incident m’a choquée » explique t-elle.
Anne Sinclair ne s’étend pas sur son calvaire pendant l’affaire DSK mais se limite à dire qu’elle a fait «un travail légitime». En revanche elle dénonce le dépassement par certains médias «des limites du voyeurisme et de l’inquisition».
Elle conteste également avoir écrit ce livre dans le cadre d’un « plan com » pour justifier la fortune de son mari . Anne Sinclair explique «Si j’avais voulu faire une communication sur mon compte en banque, j’aurais fait différemment !».
Anne Sinclair retrace l’histoire de sa famille, de ce grand-père, «obligé de fuir», car «déchu de sa nationalité parce qu’il était juif», de la célèbre collection qu’il est parvenu à constituer, et dont «il reste peu de chose» aujourd’hui.
Anne Sinclair évoque également la liaison de sa grand-mère avec un autre grand marchand d’art mais conteste tout parallèle avec sa propre expérience «Non, pas du tout (…) c’est sans aucun rapport avec les personnages existants.»
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