Le comédien Frédéric Diefenthal qui vient de publier un documentaire « Paris, Capitale du crime » sur 13e Rue qui n’a pas tourné au cinéma entre 2007 à 2012 mais s’est consacré davantage à la télévision, à des séries, au théâtre était l’invité de sur France Info vendredi 24 Mai 2013.
Frédéric Diefenthal « Je pense effectivement qu’on est nombreux aujourd’hui donc il faut trouver sa place se singulariser » .
« Ce ne serait pas honnête de dire – que le cinéma- ça ne me manque pas » « Le cinéma c’est un objet. Après je fais de la télé. A un moment il y a peut -être des raisons. C’est vrai on est beaucoup..la caravane passe et puis voilà. »
« Je retournerai peut-être des films dans un an, dans deux ans. Donc oui oui ça me manque aussi de faire un bon film ».
France Info « Vous avez donné une définition du cinéma en disant dans une interview++ Le cinéma est un sport d’équipe. Si vous ne vous démerdez pas trop mal. Vous avez une bonne photogénie et un jeu qui va bien, il suffit de rencontrer le beau rôle, le bon réalisateur avec le bon chef opérateur et le bon technicien et là vous êtes sûr de décrocher un Cesar »
Frédéric Diefenthal « Je schématise, mais c’est la réalité. Au cinéma c’est le réalisateur qui a l’adrénaline. C’est lui le commandant de bord, c’est lui le capitaine. C’est lui. Quelquefois il y a des acteurs d’un film. Mais je faisais aussi cette comparaison par rapport au théâtre. Le théâtre ne supporte pas la médiocrité. Les gens sortent de la salle ou vous le font savoir tout de suite »
Le documentaire « Paris, Capitale du crime » sur la chaîne 13e Rue
Le documentaire « Paris, Capitale du crime » diffusé sur 13e Rue relate la vie d’une vingtaine de meurtriers, Casque d’Or, la Bande à Bonnot, Guy Georges, le tueur du 11ème arrondissement de Paris notamment, Violette Nozière qui avait tenté d’empoisonner ses parents.
Frédéric Diefenthal « Une grande héroïne mythologique qui a le courage de délier les liens du sang et une petite salope vicieuse et paresseuse qui est le reflet d’une société en voie de décomposition morale. C’est une réalité. »
Selon le comédien l’intérêt du livre « c’est d’être dans la digression et d’être subversif, donc de dire aussi ce que l’on pense. On n’est pas des sociologues, des historiens, mais c’est le point du vue d’un individu. »
« Je pense que l’on est nombreux et qu’il faut trouver sa place, se singulariser peut-être. Les terrains de jeu sont importants. Il faut occuper beaucoup d’endroits pour garder sa place. »
A propos du film Taxi dans lequel a joué Frédéric Diefenthal, ce film s’était « comme gagner au loto, vous avez une chance sur un million et après il faut gérer ce que cela rapporte. » « C’est déroutant le succès. Je l’ai toujours vécu avec pudeur et quelques fois je ne me suis pas senti légitime. » Précise t-il.
A propos de la comédienne Gwendoline Hamon qui avant de devenir sa femme était sa meilleure amie pendant sept ans, qu’il a rencontré sur un court-métrage en 1993 avant de l’épouser en 2004 le comédien confie « Il y a la rencontre et l’on devient plus qu’amis. Il y a un moment on s’est retrouvé dans le même cas de figure et l’on s’est posé la question. » A ajouté Frédéric Diefenthal.
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