Lundi matin, le président de la république a reconnu que la France n’avait « pas pris la juste mesure de la désespérance et de la souffrance » de la population en Tunisie.
En revanche, N. Sarkozy a rejeté les critiques selon lesquelles il serait « resté silencieux » devant les morts.
Le chef de l’Etat a admis que la France n’avait « pas pris la juste mesure » de la « désespérance », et de la « souffrance » de la population.
N.Sarkozy a rappelé que l’opposition tunisienne en exil était basée à Paris.
N.Sarkozy a ajouté, que pour ne pas être accusé de post-colonialisme, il revendiquait « une certaine réserve » concernant les évènements se déroulant dans les anciennes colonies et protectorats français, et « spécialement en Algérie ».
« La puissance coloniale est toujours illégitime à prononcer un jugement sur l’ancienne colonie. Il y a une contradiction entre la souveraineté des pays et l’obsession de faire intervenir la France », a déclaré le chef de l’état.
N.Sarkozy a rappelé que l’opposition tunisienne en exil était basée à Paris et qu’il n’était « pas resté silencieux devant les morts ».
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