Valérie Trierweiler confie dans une interview au quotidien Le Monde publié samedi 15 décembre n’être entrée qu’à trois reprises dans le bureau de François Hollande à l’Elysée « Je ne vais jamais dans la partie du pouvoir » affirme-t-elle.

« Même à la Maison Blanche, je n’étais pas du tout impressionnée . J’y suis allée comme avant, en observatrice. François, lui, était président avant d’être élu. Moi, j’ai toujours eu un temps de retard. Je n’ai jamais rien voulu anticiper. », confie la première dame.

« A un moment, j’ai pris conscience

de ce qu’on attendait de moi »

Valérie Trierweiler indique qu’au départ, elle refusait de devenir une « personne publique » et estime qu’avec du recul, elle considère cela comme une forme de déni, un « refus inconscient du rôle ».

La compagne du chef de l’état évoque par ailleurs un « déclic » à la fin du mois septembre et déclare « A un moment, j’ai pris conscience de ce qu’on attendait de moi. Le 6 mai, je n’avais rien mesuré du tout. C’est un peu comme si on m’avait fait sauter en parachute sans parachute.. »

Evoquant la plainte qu’elle a déposée contre les auteurs de « La Frondeuse », la biographie non autorisée, Valérie Trierweiler dit avoir été « reboostée » « Je me suis dit que je n’allais pas me laisser abattre » confie t-elle.

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