Le Parisien titre dimanche Delarue, le grand absent de la rentrée » à travers une enquête qui fait la Une du quotidien. L’ex golden boy de la télé qui enchaînait succès après succès après la création de sa société Réservoir Prod en 1994, ce qui coûtera sa place à Jean Pierre Elkabbach, alors président de France Télévisions , contesté pour sa gestion de l’affaire des animateurs producteur, Jean Luc Delarue n’aurait plus le vent en poupe, si l’on en juge par sa faible présence sur le petit écran en cette rentrée 2009.
Le Parisien relate « Delarue a séché la conférence de presse de rentrée de France Télévisions. Vrai retard ou refus d’affronter les journalistes ?
Une certitude : pour la première fois depuis 1994 et la création de sa société Réservoir n’a plus que deux émissions à l’antenne : ++ Toute une histoire++ , sa quotidienne en début d’après-midi sur France 2, et « Maison à vendre », le magazine présenté sur M 6 par Stéphane Plaza.. Deux programmes alors qu’en 2004 il en produisait une trentaine sur TF1, France 2, France 3 et le câble.
Le quotidien poursuit « La fin de l’empire JLD ? Les voyants sont au rouge. A France Télévisions, on s’est lassé des frasques de l’ancien chouchou des ménagères. La saison passée a été rude. Jean-Luc Delarue, qui a disparu des classements des animateurs préférés des Français a fait parler de lui. Trop
Avec les plus lettrés de ses amis il partage une autre passion : l’art. Pour sa collection, le richissime Delarue, qui aurait gagné 4.500 euros par jour ces dernières années selon d’anciens dirigeants de Reservoir Prod. Ne regarde de pas à la dépense.
++C’est le plus cultivé et le plus intelligent des animateurs, affirme un de ses amis, Mais c’est aussi le plus désagréable. Delarue est la seule star de la télé que tu n’arrives pas à approcher. Il vit dans un monde d’excès et de luxe.++ « Sans limite, dans aucun domaine, comme ses blagues douteuses à l’antenne ou enencore ces derniers jours ses accrochages en coulisses de « Toute une histoire », avec ses invités, Geneviève de Fontenay mais aussi la jeune animatrice Alessandra Sublet, pour des mots déplacés. Comme si le gendre idéal et le « bad boy », la quarantaine venue, n’arrivait plus à cohabiter » raconte Le Parisien.
Peut-on reprocher à un animateur dont l’un des films préférés est Barry Lindon (Stanley Kubrick) d’être cultivé ?
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