Adelaïde de Clermont-Tonnerre qui vient de publier son premier livre « Fourrure » aux éditions Stock s’exprime dans Paris Match.
Après avoir suivi des études classiques de bonne élève, hypokhâgne, Khâgne, Normale, elle raconte :
« Je ne me voyais pas prof à 50 ans répondant oui à un ado qui lève le doigt pour aller aux toilettes » (…) J’ai intégré l’Institut de sciences politiques. Je n’ai pas terminé (…) »
« Débauchée par une boite des fusions acquisitions, je me suis retrouvée dans la finance, à m’occuper de crédit à l’export pour la socété générale à Mexico »
« J’ai explosé au bout d’un an. Je n’étais pas faite pour faire du fric » indique-t-elle en acceptant de reconnaître une influence de Patrick Besson « Je le prends pour un compliment » (Fourrure éd Stock).
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