Après la succès de son meeting à la Bastille, Jean-Luc Mélenchon a réalisé mardi dans le Nord la plus importante affluence de sa campagne.
Avec 10.000 personnes présentes dans la salle (15 000 personnes selon le Front de gauche), Jean-Luc Mélenchonest monté sur la scène du Grand Palais de Lille visiblement ému.
Le candidat du Front de Fauche est sorti saluer les milliers de sympathisants qui faute de place à l’intérieur, étaient restés à l ‘extérieur pour l’écouter devant un grand écran.
Pour débuter son discours, Jean-Luc Mélenchon, a attaqué, avec face à lui plusieurs centaines de drapeaux rouges dans le public « »La rivière est sortie de son lit! Et quoi qu’il arrive, elle n’y retournera pas de sitôt! » a t-il lancé.
Et de poursuivre « Nous sommes les bâtisseurs d’une grand force, disciplinée. C’est un honneur de marcher dans nos rangs à la condition de savoir où on est ».
« We are very Dangerous »
Il a ajouté « Le Front de gauche est enraciné. » « We are very dangerous! ».
« Nous sommes une force indépendante, autonome, qui ne compte que sur elle-même ». « We are very dangerous! » s’amuse -t-il en référence au « I’m not dangerous » de F. Hollande au quotidien britannique The Guardian.
Pour rassurer le candidat socialiste affirmait au quotidien britannique qu’il n’y avait plus de communistes en France.
JL Mélenchon a indiqué « Des communistes y’en a partout! oui! oui! Et la maladie est contagieuse ».
Puis il a évoqué Marine Le Pen, « la malheureuse, sifflant de haine, la bête immonde ».
Jean Luc Mélenchon s’est dit « fier, heureux » d’avoir insisté lors de son meeting à la Bastille sur le « grand peuple mélangé » qu’est la France.
Il se félicite d’avoir continué sa campagne après la tuerie de Toulouse: « Ce n’est pas un tueur qui prend en otage la démocratie et la République » a t-il indiqué.
« Le tueur n’est arrivé à rien et les chacals du Front national non plus » a t-il lancé devant une foule conquise.
Avant son meeting mardi soir Jean Luc Mélenchon a répondu à la presse..
Un journaliste d’une chaîne de télé suédoise lui a demandé quelles mesures concrètes, le candidat du Front de gauche comptait prendre pour lutter contre les effets négatifs de l’économie globalisée Jean Luc Mélenchon a répondu :
«Vous plaisantez, Monsieur ?» «vous n’avez qu’à écouter mon discours!».
Puis le candidat du Front de Gauche a expliqué que selon lui la financiarisation de l’économie est «un cancer» a t-il déclaré.
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