Lundi le Conseil de Paris a adopté la tenue d’états généraux de la nuit parisienne » à la mi-janvier.
Selon Ian Brossat, président du groupe PC PG à la Mairie de Paris : « Avant les élus associaient les établissements de nuit aux problèmes de voisnnage. Ajoujourd’hui grâce à la pétition, ils commencent à admettre l’importance de ces lieux dans le rayonnement culturel de la capitale, mais aussi leur pouvoir économique »
Il espère que grâce aux « états généraux de la nuit parisienne » les lois seront appliquées avec plus de mansuétude et de compréhension.
Une pétition avait été lancée sur internet par des organisateurs de soirées et d’événements, baptisée « Paris: Quand la nuit meurt en silence ».
Plusieurs « acteurs de la musique et de la nuit à Paris », notamment l’association Technopole, qui a créé la Techno Parade, dénoncaient les conséquences des pressions dans la gestion des problèmes de voisinage et de nuisances.
Cette lettre ouverte était destinée aux ministres de l’Intérieur et de la Culture, du maire de Paris et du préfet de police.
La pétition qui aurait été signée par 15.000 personnes indiquait « La loi du silence généralisée qui s’abat sur nos événements et nos lieux de vie est en passe de reléguer la Ville Lumière au rang de capitale européenne du sommeil ».
Leurs espoirs résident dans les « états généraux de la nuit parisienne » prévue à la mi-janvier 2010.
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