Le sociologue Edgar Morin, qui connaît François Hollande, s’est montré très critique à l’égard du début de son quinquennat et dénonce « l’immobilisme » du chef de l’état.

Il estime que cent jours après son élection, le président de la République doit s’intéresser « à la vie quotidienne des Français » et doit quitter ses habits de président « normal ».

« Jusqu’à présent, nous avons eu à faire à trois mois de vacance, d’immobilisme et de cafouillage relatif », juge celui qui sort ce mercredi un livre « Dialogue avec François Hollande » a ajouté le sociologue.

Le sociologue Edgar Morin, qui connaît François Hollande, s’est montré très critique à l’égard du début de son quinquennat et dénonce « l’immobilisme » du chef de l’état.

Il estime que cent jours après son élection, le président de la République doit s’intéresser « à la vie quotidienne des Français » et doit quitter ses habits de président « normal ».

« Jusqu’à présent, nous avons eu à faire à trois mois de vacance, d’immobilisme et de cafouillage relatif », juge celui qui sort ce mercredi un livre « Dialogue avec François Hollande » a ajouté le sociologue.

Selon Edgar Morin « Le président est un homme qui a vécu dans l’appareil mais il ne connait pas la vie quotidienne » des Français, analyse-t-il, sommant François Hollande de quitter ses habits de président « normal ».

« La normalité n’a plus de sens aujourd’hui.

Il faut quelque chose d’’exceptionnel' » (Edgar Morin).

La stratégie politique du chef de l’état est souvent jugée trop en rupture avec celle de son prédécesseur et les Français, s’impatientent, et rappellent au « candidat du changement » qu’ils attendent de lui des mesures concrètes pour lutter contre la crise économique.

Selon Edgar Morin « Le président est un homme qui a vécu dans l’appareil mais il ne connait pas la vie quotidienne » des Français, analyse-t-il, sommant François Hollande de quitter ses habits de président « normal ».

« La ++normalité++ n’a plus de sens aujourd’hui. Il faut quelque chose d’’exceptionnel' », selon Edgar Morin.

La stratégie politique du chef de l’état est souvent jugée trop en rupture avec celle de son prédécesseur et les Français, s’impatientent, et rappellent au « candidat du changement » qu’ils attendent de lui des mesures concrètes pour lutter contre la crise économique.

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