Vincent Elbaz est le héros de cette série, produite et écrite par le cinéaste pour TF1.
Pour sa première série, Luc Besson a produit No Limit , tourné à Marseille ( comme la franchise à succès Taxi).
Le héro de cette série est Vincent Elbaz dans un double registre action-humour.
Le réalisateur a cosigné également les six épisodes de 52 minutes avec Franck Philippon, acec à ses côté une équipe de cinq auteurs.
Deux épisodes seront TF1 diffusés jeudi soir. Pour l’anecdote, Vincent Elbaz se réveillait à 6 heures chaque matin pour un footing avec Alain Figlarz, surnommé la « Rolls-Royce des cascadeurs » ( il a notamment entraîné Matt Damon pour La Mémoire dans la peau et Liam Neeson pour Taken 2 (dont Besson écrit la suite).
TF1 convaincu par No Limit, a commandé une saison 2 à EuropaCorp Television, déjà au travail sur l’écriture.
L’audience de ce soir sera analysée comme pour chaque lancement de programme.
Synopsis : le héros, Vincent Libérati (Elbaz), agent à la DGSE, est atteint d’une tumeur au cerveau. Contacté par un département secret, il décide de suivre un traitement expérimental en échange de missions spéciales. Il devra les mener vite et sans bavure, car personne ne viendra le sortir de prison s’il échoue.
Vincent accepte le deal pour se rapprocher géographiquement de sa fille ado (Sarah Brannens), de son ex-épouse (Hélène Seuzaret) et de sa sœur (Anne Girouard, de Kaamelott), flic à la crime.
Ces trois femmes sont la part tendre, imprévue et drôle de la série. Ignorant la double vie de Vincent et le mal qui le ronge, elles le malmènent et empiètent sur ses enquêtes toujours au plus mauvais moment.
Voir audience : « No Limit » ( Luc Besson) jeudi soir
Voir aussi : ( Vidéo) Sarkozy chez Poutine bronzé et barbu ( Russie)
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