reportage sur son escapade amoureuse avec François Hollande dans les jardins du Luxembourg.

La messagerie vocale du directeur de sa rédaction aurait été l’objet d’injures rapporte mercredi le «Canard enchaîné».

«Je viens de découvrir ton journal de merde (…), qui fait de la merde (…) et ses photos de merde !» aurait lâché Valérie Trierweiler qui aurait confirmé avoir laissé un message vocal à Olivier Royant, directeur de la rédaction de «Match», mais en contestant la forme de ce qui est rapporté.

Selon le «Canard», la rédaction de «Paris-Match» est sous tension et certains jugent la situation difficilement tenable.

Selon un ponte du groupe Lagardère à qui appartient Paris-Match, «ça devient très compliqué».

Le «Canard Enchaîné» rapporte également que dans un précédent numéro, une journaliste avait osé compléter l’un de ses articles par un encadré. Dring ! «C’est exclu. C’est ma page» aurait-elle déclaré, selon l’hebdomadaire.

Conséquence du papier sur l’escapade au Luxemblourg avec son amoureux, l’envoyée spéciale de «Match» qui avait signé l’article, n’a pas eu le droit de suivre Valérie Trierweiler lors du voyage officiel à New Delhi.

Une journaliste de «Libération» qui a écrit un article sur « des caprices de Valérie à New Delhi » aurait eu droit à des représailles identiques.

Seule, TF1 a été autorisée à suivre la Première Dame pendant le voyage officiel.