Valérie Trierweiler qui reste hospitalisée depuis vendredi 10 janvier 2014 à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, a reçu jeudi 16 janvier dans la soirée la visite de François Hollande.
Les circonstances de l’annonce de la relation présumée du président avec la comédienne Julie Gayet faites à Valérie Trierweiler par François Hollande jeudi 9 janvier, veille de la publication des clichés par Closer, et l’hospitalisation de Valérie Trierweiler qui a suivi, sont abondamment reprises dans la presse et les médias.
« Une tension entre François Hollande
et sa compagne depuis de longs mois »
Avant la visite du chef de l’état à l’hôpital, la radio RTL a affirmé avoir pu discuter avec des intimes de Valérie Trierweiler selon lesquels ce serait les médecins qui n’auraient pas autorisé le chef de l’état à rendre visite à Valérie Trierweiler, précisant « une pratique répandue dans les cas de détresse psychologique ».
RTL ajoute que Valérie Trierweiler serait particulièrement blessée par l’absence de François Hollande avant que cela n’ait lieu jeudi.
RTL précise «Mais François Hollande parle à l’équipe de soignants qu’il a même rencontrés personnellement», ajoutant que la première dame a reçu de sa part, des fleurs et des chocolats et précise que la tension trop basse de la première dame est toujours en dessous de la normale l’empêche de se tenir debout.
RTL ajoute «Elle n’a pas fait de crise de nerfs comme l’a publié Le Canard enchaîné mais lorsque François Hollande l’a averti des images de Closer, elle était déjà très éprouvée par ces derniers mois».
Précisant «Elle n’est pas coupée du monde, elle communique par téléphone et par texto mais les médecins estiment qu’elle doit encore rester protégée. Son moral est au plus bas».
L’hebdomadaire VSD affirme que «Valérie Trierweiler aurait avalé quelques cachets et fait un malaise. F. Hollande, dans la foulée, demande qu’elle soit hospitalisée».
Pour Le Point «elle a juste pris une pilule de trop» jeudi soir, la première dame s’est sentie au réveil, « nauséeuse» et assaillie de sollicitations sur ses téléphones portables elle «se sent seule et au bord du gouffre, et réclame son hospitalisation».
A aucun moment la presse ne fait état d’une tentative de suicide.
Valérie Trierweiler est soutenue par ses amis, journalistes pour la plupart.
Elle s’interrogerait sur les causes de la révélation du scandale qui, selon intéressée pourraient être dues à des jaloux qui auraient voulu lui nuire.
Il existait une tension entre François Hollande et sa compagne depuis de longs mois indiquent les deux magazines.
Le tweet de soutien de Valérie Trierweiler à Olivier Falorni contre Ségolène Royal aurait fait apparaître une faille dans leur couple indique Le Point qui précise que «Le président en aurait pleuré de rage», ce que l’intéressé conteste.
Voir aussi : (Vidéo) Canal + : Hollande est-il méchant ? ( journaliste JDD / Grand Journal)
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