L’affaire Trierweiler fait la Une de l’hebdomadaire VSD sorti en kiosque ce jeudi 23 janvier 2014 et qui publie notamment les confidences d’un proche du chef de l’État :
«Jusqu’ici il pensait pouvoir acter une séparation mais il vient de comprendre que ce ne serait pas si simple. Valérie compte s’accrocher. Je le connais. Il est en train de céder ».
Sa » carte maitresse : sa connaissance
de quelques secrets de la république »
L’hebdomadaire indique que Valérie Trierweiler est revenue plusieurs fois vain pour assister aux vœux du président le 14 janvier puis à ceux que le chef de l’état a présenté en Corrèze en fin de semaine dernière.
Selon VSD François Hollande a passé le samedi après-midi et dimanche matin à la Lanterne près de Versailles avec Valérie Trierweiler mais l’hebdodmadaire précise :
«Valérie souhaite un retour alors que Hollande désirait une rupture car la situation de son couple s’était dégradée depuis longtemps. Il y avait de réels différends et il espérait une sortie vers le haut» écrit VSD.
Et de préciser «Entre les équipes du chef de l’État et de la première dame, la guerre fait rage. Celui qui maîtrisera la com gagnera la partie» précisant que la journaliste aurait un moyen de pression considérable pour rester et écrit à ce sujet :
«En un an et demi passé aux côtés du chef de l’État, elle a été témoin de petits et grands secrets de la République».
VSD titre en Une de son numéro spécial « François Hollande est-il piégé ? » accompagné de la mention :
« Jusqu’au bout Valérie Trierweiler, la femme blessée a tout tenté pour sauver son couple avec en main une carte maitresse : sa connaissance de quelques secrets de la république » écrit VSD.
Actuellement Vaérie Trierweiler se repose à la résidence présidentielle de la Lanterne, à Versailles.
Par ailleurs Frédérique Giffard, présentée par Le Figaro comme l’avocate de Valérie Trierweiler explique dans un entretien au Figario publié ce jeudi 23 janvier, des détails sur la gestion, notamment d’un point de vue matériel, de la possible rupture entre le président François Hollande et sa compagne.
Dans l’entretien au Figaro Me Giffard indique « Le président de la République et ma cliente réfléchissent. La décision n’appartient qu’à eux. Il est très difficile pour Valérie Trierweiler d’être sereine face à cette pression médiatique et politique. Mais elle est consciente qu’une clarification s’impose. »
Si son entourage assure que Valérie Trierweiler « ne joue pas la comédie, pas plus qu’elle ne se livre à un quelconque chantage », il a été confirmé par Me Giffard que la Première dame n’a pas été à l’origine d’une scène de ménage fracassante à l’Elysée.
Son avocate affirme « Imaginer qu’elle puisse vouloir instrumentaliser sa détresse est totalement contraire à sa personnalité et à sa façon de concevoir les rapports humains, basées sur la franchise ».
Selon l’avocate « Elle souhaite réellement que toute cette affaire puisse se résoudre pour en sortir le plus dignement possible » précise t-elle.
Selon plusieurs proches Valérie Trierweiler et François Hollande veulent s’en sortir « par le haut ».
Le couple, après huit ans sous le régime du concubinage, ne possède aucun bien en commun, « Aucun formalisme juridique ne doit être respecté » précise Le Figaro, même si « Valérie Trierweiler est aussi préoccupée par sa situation matérielle ».
Pourtant Valérie Trierweiler a catégoriquement démenti dans une « mise au point » fate sur Europe 1 quelques minutes pus tard.
« Elle – Frédérique Giffard- a parlé sans savoir et sans être mandatée ». Précisant, pire, « elle n’est plus mon conseil » a affirmé Valérie Trierweiler.
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