Pour la jeune Française retenue en Iran depuis juillet 2009, « l’affaire est finie » a indiqué son avocat Iranien samedi.
Assignée à résidence en Iran après avoir été accusée d’espionnage, l’universitaire française Clotilde Reiss devrait être libre dimanche, a indiqué son avocat iranien.
L’avocat s’est exprimé après un jugement rendu samedi qui condamne la Française à une simple amende.
S’il était confirmé, ce verdict interviendrait une semaine après une décision de la justice française de refuser l’extradition vers les Etats-Unis d’un ingénieur iranien, Majid Kakavand, retenu en France depuis mars 2009.
Officiellement tout lien entre ces deux affaires a toujours été démenti entre Paris et Téhéran.
Le président Ahmadinejad avait déclaré au mois de décembre que la solution de l’affaire Reiss dépendait « de l’attitude des dirigeants français ».
Le 11 mai dernier, le gouvernement iranien s’était félicité de la libération de Majid Kakavand et avait déclaré espérer une « décision rapide » de la justice concernant Clotilde Reiss.
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