Johnny Hallyday » J’ai raté ma vie » (docu C8 « Johnny : La guerre des clans »).
LE MEDIASCOPE |LOGO © www.lemediascope.fr 22.3. 2018• Article mis à jour le 22.3.2018 / article publié édité et mis en une par la rédaction.
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Mort de Johnny : Très émue, Adeline Blondieau sort de son silence sur C8
» J’ai raté ma vie »
(documentaire « Johnny : La guerre des clans »)
Pour la première fois depuis le décès de Johnny en décembre dernier,
Adeline Blondieau, ex-comédienne de la série « Sous le soleil » et troisième épouse du chanteur s’est exprimée à l’occasion du documentaire diffusé sur C8 mercredi « Johnny : La guerre des clans ».
Mariée à deux reprises à Johnny Hallyday, troisième compagne du chanteur s’est exprimée et s’est confiée sur la manière dont elle avait appris la disparition de son ancien mari dans les années 1995. Au bord des larmes, elle a ainsi expliqué que c’était son fils qui l’avait appelée pour lui annoncer.
Très émue elle a confié à propos du jour du décès de Johnny Hallyday « Je suis restée sans voix et ça m’a….. ». En signe de deuil, elle avait changé la photo de son profil Facebook qui montrait un carré noir.
Puis n’étant pas conviée, elle ne s’était pas rendue aux funérailles du chanteur le samedi 9 décembre.
Adeline Blondieau n’étant pas impliquée dans la succession de Johnny n’a pas évoqué les déchirements dans les différents clans.
Il y a 5 ans, Adeline Blondieau avait poursuivi le chanteur en justice pour diffamation suite à la publication en 2013 d’une biographie dans laquelle Johnny Hallyday affirmait qu’Adeline Blondieau était « hystérique » et « -le- trompait avec tous les petits mecs de Saint-Tropez ».
La comédienne avait ensuite accusé le chanteur de l’avoir violée lorsqu’elle était adolescente. Mais dans le reportage diffusé sur C8 Adeline Blondieau s’est seulement confiée sur sa rencontre avec Johnny Hallyday alors qu’elle n’avait que cinq ans ainsi que leur histoire d’amour, leur premier divorce ainsi que la dépendance de Johnny.
La comédienne a indiqué vouloir désormais regarder sa vie passée avec le chanteur « avec un regard apaisé et avec un sourire ».
» J’ai raté ma vie »
Dans le documentaire on apprenait notamment que Johnny Hallyday en larmes, suppliait Laeticia de ne pas le quitter ou encore que le chanteur aurait confié à un proche » J’ai raté ma vie ».
Le comédien Yves Rénier proche du chanteur a indiqué avoir assisté à une scène dans laquelle Johnny Hallyday a un jour supplié l’ancien mannequin de ne pas le quitter et a expliqué » j’ai assisté à une scène où Laeticia a essayé de foutre la camps à Gstaad ( Suisse) et où j’ai vu Johnny assis sur les marches du chalet et où Laeticia partait avec les bagages et les enfants ».
Yves Rénier a ajouté » il pleurait, il pleurait comme un gamin et disait Laeticia ne me quitte pas ».
Le documentaire produit par Julien Courbet diffusé mercredi sur C8 a permis à la chaîne de réaliser sa meilleure audience de l’année. ( Voir l’article audience Johnny C8 )
Pour la première fois à la télévision, la succession difficile du chanteur et les déchirement des différents clans étaient abordés en prime time par une chaîne de télévision.
Après Sylvie Vartan et Nathalie Baye qui ont réagi dans les médias depuis le décès du chanteur, le témoignage d’Adeline Blondieau constituait une première.
La lettre adressée par Adeline Blondieau
à Amanda Sthers
En 2013, Adeline Blondieau n’avait pas accepté de se faire traiter de « Marie couche-toi » dans le livre publié par Johnny et Amanda Sthers d’autant qu’Adeline Blondieau mène depuis plusieurs années une vie paisible loin des lumières et du show biz.
Voir aussi : Laeticia Hallyday – sa grand-mère : Nathalie Baye « peut dire ce qu’elle veut » (Elyette Boudou)
20 ans après Adeline Blondiau n’acceptait pas d’être pour cible par les auteurs du livre incriminé et répondait par une lettre adressée à Amanda Sthers :
« Chère Madame,
Jamais je n’aurais cru devoir un jour vous écrire publiquement pour parler littérature. Mais les circonstances en ont décidé autrement. Vous vous faites, aujourd’hui, d’une plume assez gracieuse d’ailleurs, la porte-parole des « souvenirs » de Johnny.
Vous me donnez dans cet ouvrage une place particulière, tant par la violence des passages qui me sont consacrés que par l’espace que j’y occupe, presque deux pages édifiantes. Quant à ma place dans vos bonnes feuilles, j’y fais à mes yeux figure d’intrus parmi de grandes personnalités…
C’est beaucoup d’importance, finalement. Mais ces mots, « ses mots » sont-ils la vérité ? Vous n’en avez manifestement cure. « Qu’importe », écrivez-vous d’ailleurs dans la préface de cet ouvrage. Qu’importe ? Avez-vous mesuré, Madame, en écrivant, la violence de la description que vous vous permettez de faire de moi ? Avez-vous réfléchi au mal qu’ils pouvaient nous faire, à mes enfants, à ma famille et à moi-même ?
Je reprends vos mots : « Elle débarquait chaque nuit pour jouer avec le feu que j’étais. » Savez-vous, Madame, que vous évoquez ici une adolescente de 14 ans, qui naïvement avait pris pour un amour fou, un amour extraordinaire, le jeu d’un adulte de 43 ans.
Vous êtes-vous demandé, qui de lui ou de moi rejoignait l’autre dans sa chambre, dans le silence de la nuit, quand l’alcool avait fait son effet ? Ce n’était pas moi.
À 14 ans encore vierge, je ne représentais à mon avis pas un grand danger pour un homme ayant vécu sa vie. Dès cette époque, il me parlait de notre amour fou, et c’est parce qu’il ne pouvait en être autrement que quelques années plus tard, l’été de mes 18 ans, j’ai accepté sa demande en mariage. J’ai aimé cet homme plus que tout, au point de croire que je le sortirais du démon de la boisson.
Naïve, oui vraiment ! Qui des deux, entre une star du rock telle que lui et une jeune bachelière qui se préparait à entrer à la Sorbonne devrait-on prendre pour le plus manipulateur ? C’est à la fois prêter une bien grande maturité à la jeune fille amoureuse que j’étais et un talent pour la manipulation que je ne pense pas avoir confirmé par la suite.
Pourtant, je reste persuadée encore aujourd’hui qu’il y a eu un amour réciproque, même si, hors norme, certainement. On n’épouse pas deux fois un serpent… Depuis mon second divorce d’avec Johnny, je me suis reconstruite. J’ai cicatrisé.
J’ai mené une vie qui n’a pas fait trop de vagues. Je ne suis pas une habituée des scandales et préfère la discrétion. Je crois n’avoir jamais manqué de respect à mon ex-mari, ces histoires-là, à mon goût ne regardaient que nous.
Je sais, Madame, que vous écrivez aussi pour les enfants, vous leur avez consacré quelques ouvrages, traitant notamment des peines et douleurs comme la séparation des parents.
Je sais, pour les avoir lus, que vous avez écrit ces textes en pensant à vos propres enfants. En écrirez-vous un, Madame, pour consoler les miens du mal que peut leur faire une telle salissure ? C’est donc à l’auteure, à la femme et à la mère de famille que je m’adresse ici.
À l’auteure, parce que, à l’inverse du roman, les mémoires ne peuvent se permettre la désinvolture et l’approximation, surtout quand il s’agit de choses aussi graves.
À la femme, car je crois savoir que l’adultère et la perversion ne sont pas des sujets qui vous font rire et qu’entre femmes, ou ex-femmes de personnes publiques, nous pouvions nous attendre à un peu plus de solidarité. À la mère enfin, car je ne peux croire qu’une mère ne soit pas sensible à la peine d’un enfant. Sachez, Madame, que les miens auront toujours du mal à subir un tel acharnement.
Si comme le mien, vos fils rentraient un jour de l’école en vous disant qu’on les a traités de fils de pute, qu’on les a menacés et qu’ils ont peur d’y retourner, comment le vivriez-vous ? Pour ma part, je le vis mal. Comment expliquer à mon fils qu’il faut serrer les dents et attendre que cela passe ?
Et que dirai-je à ma petite fille quand elle sera en âge de comprendre ? Qu’on a finalement le droit de bafouer l’honneur d’une mère sans se soucier des répercussions que cela aura sur ses enfants ?
Voir aussi : Laeticia Hallyday – sa grand-mère : Nathalie Baye « peut dire ce qu’elle veut » (Elyette Boudou)
Alors je leur dirai qu’il y a des rencontres merveilleuses et d’autres qui vous laissent un goût amer pour la vie. Je leur dirai encore qu’il faut se méfier des gens et que certaines malveillances sont tenaces et destructrices.
Je leur dirai enfin que parfois les gens se réinventent leur histoire pour avoir le bon rôle.
La notoriété donne un immense pouvoir (de nuisance en l’occurrence). Elle donne aussi des responsabilités. On ne peut impunément ignorer l’impact de tels propos (les insultes des fans qui prennent tous ses mots pour parole d’évangile, le regard de tous ces Français dont il est à jamais l’idole) et laisser ensuite les gens se débrouiller avec les conséquences de sa propre inconséquence ».
Voir aussi : C8 audience Johnny -documentaire » La Guerre des Clans »
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