Selon Le Figaro une “crise ouverte” entre Alain de Pouzilhac,le PDG de la chaîne et Christine Ockrent, la directrice déléguée, aurait des conséquences sur la rédaction.
Lors de son lancement la chaîne internationale avait été présentée comme étant l’instrument du rayonnement français à l’étranger. Il serait devenu “la chaîne de la cacophonie” pour le journal Libération.
Le quotidien explique “L’histoire vue par les salariés, mercredi le directeur adjoint de la rédaction, Albert Ripamonti, aurait été viré par Christine Ockrent. Et illico réhabilité dans ses fonctions par Alain de Pouzilhac. Qui dans la foulée aurait viré le directeur de la rédaction, Vincent Giret”.
Libération analyse la situation et indique que Giret serait proche d’Ockrent, qui l’a recruté alors que Ripamonti serait l’homme de Pouzilhac.
Libération précise que Giret ne serait pas revenu à son bureau depuis jeudi et serait convoqué jeudi pour un entretien préalable à son licenciement.
Par ailleurs, Alain de Pouzilhac et Christine Ockrent ne se seraient jamais entendus.
Pour le Le Figaro, Alain de Pouzilhac “entend reprendre la main sur une entreprise qu’il a porté sur les fonts baptismaux.”
Ainsi, au début de l’été, Christine Ockrent aurait été rétrogradée au poste de directrice générale déléguée alors qu’elle était auparavant directrice générale de France 24.
Enfin la chaîne serait dans “une situation financière difficile” avec un déficit prévisionnel compris entre 5 et 10 million d’euros pour 2011.
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