De nombreuses familles de jeunes victimes de l’hormone de croissance étaient présentes lundi, à l’ouverture du procès en appel de ce drame de santé publique.
Près de vingt ans de procédure, quatre mois de procès en première instance et une relaxe générale n’ont pas découragé les familles concernées.
« Aujourd’hui on est là, confiants et impatients que la justice rétablisse les faits. On reprend l’histoire à zéro, c’est important », a lancé en entrant à la cour d’appel de Paris Jeanne Goerrian, présidente de
L’Association des victimes de l’hormone de croissance (AVHC) recense 120 jeunes victimes à ce jour, les autorités 119. Ils étaient 115 en première instance.
Tous sont décédés après avoir reçu au début des années 1980 un traitement à l’hormone destiné à accélérer leur croissance.
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