Appelée pudiquement « télévision du réel », le service public prépare plusieurs émissions du genre.

Pas question de parler de « télé-réalité » mais plutôt de « télévision du réel » destinée à filmer des inconnus dans leur quotidien.

Le service public préfère employer l’expression « télévision du réel ».

« Il y a un pas qu’on ne franchira pas, c’est celui de la télé-trash », a affirmé  sur Europe 1 Nicolas Pernikoff, directeur des divertissements du groupe.

« Pas question de filmer des gens dans un dortoir ou des engueulades au déjeuner ».

En 2001, lorsque Loft Story et Star Academy  ont vu le jour sur M6 et TF1, le groupe public  s’était engagé à ne jamais diffuser de programmes de télé-réalité.

Pourtant dix années plus tard, la nouvelle direction se prépare à diffuser de tels programmes afin de rajeunir l’audience et de passer d’un âge moyen du téléspectateur de 55 ans à 45 ans.

Dès début 2011 un programme de la BBC, qui consiste à filmer un village vidé de sa gent féminine pourrait être diffusé.

Il permettrait de voir comment les hommes s’organisent et lk’importance de la place des femmes dans le groupe.

Contrairement à des programmes « d’enfermement » tels que  Secret Story, France Télévisions souhaite diffuser des programmes sur le quotidien des gens ainsi que de la télé-coaching qui fonctionne assez bien sur M6.

Une émission de déco pourrait également voir le jour rapidement sur France Télévisions.

 » Un programme étiqueté service public » pour Jean-Louis Blot.