Vendredi après-midi à Tunis, les forces de l’ordre tiraient des gaz lacrymogènes sur les manifestants hostiles au président Ben Ali.
Le gouvernement a décidé d’imposer un couvre-feu nocturne et autorise l’armée à tirer sur tout «suspect» refusant d’obéir aux ordres après le discours d’apaisement du chef de l’Etat, 13 civils ont été tués par des tirs de police.
Vendredi après-midi alors que des unités anti-émeutes étaient à la poursuite des jeunes manifestants dans les escaliers d’immeubles résidentiels et dans un centre commercial, où ils s’étaient repliés repliés, des blindés de l’armée se sont déployés devant le ministère de l’Intérieur.
Des tirs à balles réelles contre les manifestants auraient repris.
Selon l’envoyé spécial de la chaîne iTélé des tirs à balles réelles contre les manifestants ont été constatés.
Le président tunisien avait pourtant annoncé jeudi soir la fin ddes tirs à balles réelles.
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