Des accusations selon lesquelles les forces de Kadhafi auraient utilisé des bombes à fragmentation à Mistrata vendredi soir sont confirmées par l’ONG Human Rights Watch.
Selon l’organisation humanitaire ces bombes interdites depuis 2008 auraient été vues sur place.
Les fidèles du guide ont de nouveau bombardé vendredi les insurgés à Mistrata faisant au moins huit morts côté rebelles.
Les insurgés accusent les troupes libyennes d’avoir utilisé des bombes à sous-munitions, notamment sur les civils.
Ces bombes ’explosent pas au moment
ni à l’endroit où elles sont larguées.
Ces armes interdite à la production ou à l’utilisation depuis le 3 décembre 2008, appelées également « anti-personnel » ont la partcularité, lorsqu’elles éclatent de disperser des centaines de « sous-munitions et n’explosent pas au moment ni à l’endroit où elles sont larguées.
Selon le New York Times, les armes à sous-munitions utilisées par les troupes de Kadhafi auraient été produites par l’Espagne, un an avant que la signature du traité par ce pays.
Malgré les témoignages formels, le recours à ces armes est contesté par les troupes de Kadhafi.
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