Une ex-compagne de PPDA l’accuse d’atteinte à l’intimité de la vie privée pour son roman «Fragments d’une femme perdue» et contrefaçon après la publication du roman.
En début d’année Le journaliste-écrivain Patrick Poivre d’Arvor avait déjà été accusé de plagiat pour sa biographie de l’écrivain américain Ernest Hemingway.
L’accusatrice de PPDA âgée d’une quarantaine d’années et qui a eu une liaison entre 2006 à 2008 avec le journaliste écrivain, lui reproche d’avoir publié dans un livre paru en 2009 chez Grasset et qualifié de « roman », le détail quotidien de leur relation sans son autorisation.
Elle reproche également des actes de contrefaçon et d’avoir publié les lettres d’amour qu’elle lui avait adressé.
Selon son avocat il s’agit d’« une atteinte au secret des correspondances».
L’avocat estime qu’«en écrivant » ces lettress sa cliente « n’aurait jamais pensé qu’elles auraient pu être divulguées».
Enfin elle lui reproche de s’être attribué «la paternité d’écrits qui ne sont pas les siens» et réclame 150.000 euros de dommages et intérêts, l’interdiction de la sortie en poche du livre de PPDA ainsi que l’interdiction d’adaptation cinématographique.
L’audience mercredi devant la 17ème chambre civile du TGI de Paris prévue le 9 février avait été reportée au 8 juin.
C’est l’avocat du présentateur vedette de TF1 Me Francis Teitgen qui le représentait aujourd’hui à l’audience.
PPDA conteste les faits qui lui sont reprochés.
Partager : |
|
Tweet |
|
|
|