Au moment où Nicolas Sarkozy fait bouger les « lignes » politiques en prônant « l’ouverture » à gauche, le Parti radical cherche une nouvel stratégie. « Le chef de l’État ayant réalisé une sorte d’enjambement du Parti radical pour aller plus loin que lui, nous devons trouver les moyens de nous faire entendre », annonce Michel Thiollière, sénateur-maire de Saint-Etienne.
« Rien ne justifie que nous ne travaillions pas ensemble pour faire bouger la France », a lancé dimanche Jean-Louis Borloo, co-président du mouvement, alors que son alter ego, André Rossinot, en appelait à « un déplacement des clivages et des affrontements archaïques ».
Cependant, tout le onde ne partage pas cet avis dont l’ambiance est moins à l’ouverture ne fat pa l’unanimité « Le PRG est toujours de gauche, surtout il n’a pas vocation à rallier la majorité, a déclaré son président Jean-Michel Baylet. La fusion n’est pas à l’ordre du jour, mais rien ne nous empêche de dialoguer au sein de la famille radicale. » Elisabeth Boyer, secrétaire nationale du parti des radicaux de gauche.
Partager : |
|
Tweet |
|
|
|