Après avoir ouvert en hausse lundi suite à l’accord entre Démocrates et Républicainsaux Etats Unis, permettant d’éviter un défaut de paiement de la premièr économie mondiale, les marchés financiers, gagnés par le doute, sont repassés dans le rouge lundi après-midi,

Comme l’ensemble des places européennes, la Bourse de New York qui avait ouvert en hausse est repartie à la baisse.

Les interrogations sue la capacité des Etats-Unis à faire face à son endettement record a fait chuter les marchés les marchés en Europe.

La question qui subsiste est liée à la crainte du possible abaissement de la note américaine par les agences de notation qui souhaitaient des réductions de dépenses de 4.000 milliards de dollars sur 10 ans alors que le compromis obtenu dimanche n’en prévoit que la moitié.

C’est ce qui a notamment contribué au retournement de tendances des Bourses européennes lundi.

Selon plusieurs analystes les détails de l’accord

manquent de précision et restent flous.

Selon plusieurs analystes les détails de l’accord  manquent de précision et restent flous.

En France, malgré la réaction enthousouiaste des ministres français des Finances et du Budget François Baroin et Valérie Pécresse qui se sont félicités de cette «très bonne nouvelle» qui va «dans la direction du confortement d’une croissance mondiale», les bourses ont plongé lundi. Le CAC a terminé en baisse de -2.27%.

Récemment plusieurs agences de notation ont menacé d’abaisser la note de la dette du gouvernement américain, qui bénéficie actuellement de la plus haute note ce qui lui permet d’ emprunter aux taux les plus bas.

Grâce à l’accord trouvé dimanche soir entre le président américain Barack Obama, les élus démocrates et républicains du Congrès, le plafond de la dette va pouvoir être relevé d’un montant d’au moins 2.100 milliards de dollars.

Cette mesure va permettre au Trésor de tenir jusqu’en 2013, soit après les élections américaines de novembre 2012.

Par ailleurs, des mesures de réduction budgétaire sont également prévues en deux étapes avec une première tranche couvrant près de 1.000 milliards de dollars sur 10 ans.
Pour être effectif, l’accord doit encore être adopté officiellement au Congrès avant mardi minuit.

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