Dans son livre  à paraître le 7 octobre chez Calmann-Lévy, le frère cadet de Rachida Dati décrit  sa sœur ancienne garde des Sceaux, sans prendre de détour indique mercredi le Nouvel Observateur, qui publie un extrait de l’ouvrage.

Il est ainsi indiqué que la photo publiée dans plusieurs journaux-, montrant l’ancienne Garde des Sceaux tenant un couffin, celui-ci était en réalité, vide : «En fait, ils ont fait sortir le nourrisson sans Rachida, en catimini, pour éviter la presse» explique son frère aui ajoute :  «C’est pourquoi on voit ma nièce, Sânnaa, pouffer sur les photos à la sortie de la maternité : l’entourage fait semblant de regarder pendant que les journalistes mitraillent la nouvelle maman».

Le frère cadet de l’ancienne ministre de la Justice confirme entretenir depuis des années avec sa sœur , une relation conflictuelle, qui s’est encore accentuée en 2007 avec sa condamnation à plusieurs mois de prison ferme pour trafic de drogue. «Si j’avais le malheur de lui téléphoner, elle me raccrochait au nez parce que j’étais son frère délinquant. Elle m’a enterré ! » contate-t-il dans un autre extrait publié par le Parisien. «Chaque fois que je tente de dialoguer, elle m’ignore. Il n’y a pas si longtemps, j’ai offert une gourmette à Zohra, sa fille. Elle ne m’a même pas remercié.»

«Ma soeur est extrêmement autoritaire», continue Jamal. «On doit se conformer à ce qu’elle exige. (…) Une seule façon de faire, la sienne ! C’est ça ou rien ! Tout tourne autour de Rachida», estime Jamal.

Selon lui sa sœur «a mis la honte à la famille», notamment en mettant un enfant au monde sans être mariée reprend Le Figaro qui ajoute : «  Jamal explique ainsi ainsi que son père, à l’annonce de la grossesse de la garde des Sceaux, a dû +rabaisser sa fierté+ dans les rues de son quartier. Et, la plaisanterie de Bernard Laporte – «je ne suis pas le père de l’enfant», n’aurait rien arrangé à la colère du patriarche. «Pendant deux mois il a répété : c’est terminé, je ne veux plus la voir ! Nous, nous avons vécu toute cette affaire comme un déshonneur» poursuit le site internet en citant les extraits du livre.