Dans un entretien au magazine Elle, Valérie Trierweiler, compagne de François Hollande indique qu’elle commencera à remplir son « nouveau rôle en accompagnant peu à peu François en public ».

Valérie Trierweiler précise « Je continue à croire que je peux gagner du temps, protéger mon anonymat ».

« J’ai encore deux mois de demi-tranquillité devant moi. Je continuerai donc à exercer mon métier de journaliste qui me passionne. Pendant plus vingt ans, j’ai été observatrice et je me trouve maintenant en position d’être observée » ajoute t-elle.

Valérie Trierweiler décrit son compagnon comme étant « d’un optimisme incroyable », qui « pense qu’il y a toujours des solutions à tout et qu’il ne faut jamais perdre la moindre minute dans la vie ».

Valérie Trierweiler évoque par ailleurs sa propre famille, « socialement de gauche » avec une mère qui lui a « montré des exemples d’indépendance très forts », leur a appris, à elle et ses cinq frères et sœurs ++l’adversité++.

« Je ne suis pas Cendrillon et je n’ai pas le parcours d’une arriviste non plus! (…) Je n’aime pas qu’on qualifie mon milieu de « modeste ». Qu’est-que cela signifie, que je n’aurais pas le droit d’être fière de là d’ou je viens? » estime Valérie Trierweiler.

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