Rémy Pflimlin, patron de France Télévisons, s’exprime dans L’Express ( trois semaines après une tribune dans Le Monde) pour défendre son premier bilan à la tête du goupe d’audiovisuel public.
Selon Rémy Pflimlin la TNT ( lancée il y a six ans ) constitue « Une révolution » et « un bouleversement du paysage audiovisuel ».
En dépit de programmes qui enregistrent des audiences sous la part de marché moyenne de France 2 ou de France 3 ( Midi en France, Vendredi sur un Plateau, Avant Première – Elisabeth Tchungui, Sing Off 100% Vocal, JLuc Delarue etc..) Rémy Pflimlin relativise :
« Il y a des contre-performances qui ne touchent que trois ou quatre émissions, dont celles de Jean-Luc Delarue ou d’Elizabeth Tchoungui, sur les cinquantes nouvelles lancées début septembre sur l’ensemble des chaînes du groupe ».
Il précise « quand on innove, on n’est pas à l’abri d’échecs ou de démarrages lents ».
Remy Pfimlin souhaite de la part des observateurs » un peu de distance » et estime que « l’objectif était de desserrer la contrainte de l’Audimat » après la suppression de la publicité après 20 heures.
Remy Pfimlin poursuit « Cela ne me gêne pas que nous fassions de moins bons scores que la TNT quand nous diffusions un opéra en direct ou quand nous traitons de la jeunesse en révolte dans le monde »
« Mais ces cas sont rares (…) et nombre de nos prime-time affichent sur France 2 de très bons scores » estime Rémy Pflimlin qui souhaite, avec l’arrivée de Bertrand Mosca à la direction de France 2 « redonner à l’ensemble antenne-programmes une cohérence très forte »
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