Valérie Pécresse, ministre du budget et porte-parole du gouvernement a commenté lundi soir sur France Info, l’annonce d’une nouvelle menace de dégradation qui pèse sur la note de la France plus que sur l’Allemagne.
Pour Valérie Pécresse « parce que la France est dans une situation de déficit supérieure à celle de l’Allemagne… L’urgence c’est de rétablir la confiance dans la zone euro ».
« D’abord il faut dire que Standart & Poor’s ne noua pas dégradé. Ill nous a mis sous surveillance. Et c’est très différent. Cette appréciation de Standart & Poor’s elle n’est pas spécifique à la France .
Nous sommes tous concernés tous les pays Triple A de la zone euro. La leçon c’est que ça prouve que nos destins sont étroitement liés.
Et ça s’expilque parce-que cette mise sous surveillance vient essentiellement de la crise de confiance qui touche aujourd’hui la zone euro. Et ça montre la nécessité de prendre très rapidement et ensemble les décisions qui s’imposent pour rétablir la stabilité de la zone euro.
Et c’est tout l’objet des propositions que Nicolas Sarkozy et Angela Merkel ont fait qui, je le précise n’ont pas pu être prises en compte par Standart & Poor’s ».
Valérie Pécresse ajoute « Standart & Poor’s dit qu’il refera le point à l’issue du sommet européen de cette semaine. Donc ça démontre que ce sommet est essentiel pour la zone euro.
Ca démontre aussi que collectivement il faut soutenir l’action des dirigeants européens au delà des clivages partisans.
Et ca démontre aussi que les propositions qui sont faites aujourd’hui par le couple franco-allemand intéresse les observateurs. Ils veulent une vraie union budgétaire, une vraie union économique, plus de discipline, plus de solidarité.
« Il ne faut pas baisser les bras et adopter le langage du dénigrement adopté par la gauche. » a conclu Valérie Pécresse.
Partager : |
|
Tweet |
|
|
|