Après la polémique née de la présence du journaliste de TF1 Harry Roselmack et d’une équipe de télévision aux côtés d’un musulman qui tentait de faire sortir d’un site d’abattage, rituel à Marseille, un mouton vivant, Brigitte Bardot a pris mardi la défense du journaliste.

Dans un communiqué de sa Fondation, Brigitte Bardot indique  que Harry Roselmack a été « lynché médiatiquement pour avoir tenté de lever le voile sur l’abattage clandestin ».

Le communiqué de la Fondation Brigitte Bardot précise : Il « est accusé d’islamophobie pour le simple fait d’avoir suivi un jeune musulman qui s’apprêtait à sacrifier un mouton hors abattoir »

« Le transport d’un mouton dans un coffre pour être égorgé clandestinement n’est, hélas, pas un fantasme de journaliste mais une réalité atroce que je dénonce de toutes mes forces et que je dénoncerai jusqu’à mon dernier souffle » ajoute Brigitte Bardot.

Selon la Fondation Bardot « cette année encore, sur les plus de 200.000 moutons officiellement sacrifiés durant le sanglant Aïd-el-Kebir, 70.000 ont été égorgés clandestinement ».