Avec l’agression de la journaliste Audrey Pulvatret de son compagnon le député PS Arnaud Montebourg, la stratégie de dé-diabolisation du Front National voulue par Marine Le Pen, a beaucoup perdu.

Selon les éditorialistes de BFMTV, « après la valse viennoise » de Marine Le Pen, il y a un mois « avec les chefs de l’extême droite la plus sulfureuse d’Europe, la plus virulente d’Europe, plus la référence de son père à Robert Brasillach, l’écrivain collaborationniste et puis maintenant l’agression de la journaliste Audrey Pulvar et de son compagnon Arnaud Montebourg par des fanatiques qui scandaient le nom de Le Pen, la façade de respectabilité du Front National se lézarde » ont indiqué jeudi matin les éditorialistes sur la chaîne d’info en continu.

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