La comparaison entre les revenus des actions incluant le dividende ou les intérêts et celles des obligations, laisse apparaître un net avantage aux actions selon plusieurs gestionnaires.
Jean-Charles Mériaux, directeur de la gestion chez DNCA Finance constate dans le Figaro mardi 2 novembre 2010 :
«C’est une période curieuse où les actions offrent en effet des rendements supérieurs en moyenne aux taux d’intérêt des obligations émises par les entreprises, sur des durées courtes, par exemple cinq ans».
Il ajoute « D’ordinaire, c’est l’inverse. Les obligations rapportent davantage, et les investisseurs misent sur les actions surtout dans l’espoir d’une plus-value ».
«Mais jusque dans les années 50, au contraire, les actions, plus risquées que les obligations, devaient verser de plus gros revenus»,
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