Confondu par son ADN, le jeune homme, qui s’était présenté mardi soir à la gendarmerie, a été placé en garde à vue au cours de laquelle un test salivaire a été effectué.

La veille de sa venue au commissariat un voisin de 73 ans, placé en garde à vue depuis dimanche soir venait d’être libéré grâce aux prélèvement d’ADN relevés sur les vêtements de la petite fille qui ne correspondaient pas à celles relevées sur lui.

Mercredi après-midi une marche blanche a eu lieu à la mémoire de la fillette, victime d’attouchements sexuels puis asphyxiée et poignardée. La population est sous le choc à Bellegarde.