Le quotidien Libération est revenu samedi sur le conférence de presse donnée vendredi par l’animateur producteur de télévision Jean-Luc Delarue, qui a choisi d’annoncer aux médias de son cancer.
Rémy Pflimlin , président de France Télévisions, présent, a pris la parole à la fin de la conférence pour « saluer le courage de Jean-Luc »
L’animateur a indiqué qu’un paparazzi avait dérobé son dossier médical, ce qui l’avait décidé a annoncer personnellement l’information avant qu’elle ne soit publiée dans la presse.
Jean Luc Delarue a par ailleurs annoncé qu’il venait de subir sa première chimio et que celles-ci qui allaient se poursuivre pendant peut-être neuf mois.
Il a précisé » Mon cancer sort de l’ombre. La vie devient différente maintenant. La guérison est possible, même probable. Je veux profiter de chaque parcelle de ma vie »
« La guérison est possible. Ce sera lui ou moi mais il y en a un des deux qui doit mourir. » A –t-il ajouté.
« un cancer c’est personnel – Delarue,
lui, le met en scène »
Libération revient sur cette conférence de presse samedi « C’est difficile, un cancer, c’est personnel. Y en a qui ne disent rien, y en a qui, journaliste comme notre vieille copine Marido Arrighi, se mettent à enquêter sur leur cancer. Jean-Luc Delarue, lui, le met en scène, il en fait une actualité, une information et, bien sûr, un spectacle. C’est l’aboutissement de sa carrière. Juste, on aurait aimé ne pas être là ».
Le quotidien précise « Au moment où on est partis, Jean-Luc Delarue nous a alpagués. Nous a serré la main et nous a dit ceci: ++Malgré tout ce que vous écrivez sur moi, je ne vous en veux pas. Je trouve vos papiers rigolos et bien sentis. » On l’a regardé et on n’a rien trouvé d’autre à lui dire que « bon courage ».++ »
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