Dominique Stauss-Khan qui était à Pékin en décembre et sera en mars à Bruxelles , près le suivrait de près la campagne de François Hollande
Selon le Nouvel Observateur « Son positionnement est le bon » mais en revanche il est « toujours aussi sévère avec le couple Sarkozy-Merkel ».
Selon l’hebdomadaire le traité européen « qu’ils ont imaginé fait, à ses yeux, une impasse coupable sur la croissance. »
DSK persiste à rappeler ce qu’il confiait déjà au printemps dernier « sans annulation de la dette grecque, l’Europe va dans le mur ».
DSK irait plus loin encore et jugerait que « plus elle tarde, plus cette mesure inéluctable de chirurgie économique risque de lui coûter cher ».
DSK se dit convaincu que Hollande réussira à faire passer à Berlin les messages qui explicitent sa stratégie, tant auprès de la chancelière que de Franck-Walter Steinmeier, son principal concurrent du SPD.
Pour DSK, Angela Merkel, peut être convaincue mais à condition de savoir lui parler et de ne pas rester dans les postures politiciennes.
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