Une femme dénommée Marie-Victorine M., âgée de 38 ans consultante qui a étudié à la Sorbonne et a été juriste à l’ONU à Genève, puis à la Cour pénale internationale à La Haye affirme au journal Suisse l’Illustré, avoir été été pendant près d’une année la maîtresse de Dominique Strauss-Kahn.
Selon la jeune femme tous les détails de la liaison ont été consignés au quotidien dans un journal intime.
Le journal la décrit ainsi « Née de mère espagnole et de père congolais, elle a rencontré le leader socialiste en février 1997 dans sa ville de Sarcelles, en banlieue parisienne, où il était maire. Rendez-vous secrets, baisers volés, elle évoque aujourd’hui une dévorante passion amoureuse »
Marie-Victorine déclare : « On se voyait plus régulièrement dans un appartement du XVIe arrondissement dont il me disait que c’était le logement d’un de ses amis, un endroit assez spectaculaire, très grand, meublé à l’ancienne, mais aussi au Sofitel, dans le XVe arrondissement.
On pouvait se voir de jour comme de nuit, fréquemment au début, puis on s’appelait souvent aussi, on s’échangeait des textos. Parfois, il m’appelait pour ne rien dire, très tendre avec moi.
Quand le parti socialiste a gagné les législatives, par exemple, il était à la télévision et il prenait le temps de m’appeler j’en étais stupéfaite. ++Pourquoi m’appelles-tu?++ Il répondait : Parce que j’ai envie d’entendre ta voix++ , me susurrait-il. C’était surréaliste » ajoute t-elle.
« Je ne me voyais pas en maîtresse à vie.
La relation était intense. Physique. »
Depuis 2009, Marie-Victorine M. vit en Californie près de Los Angeles, qu’elle a choisi de quitter en raison du harcèlement qu’elle subirait de la part des journalistes américains qui souhaitent raconter son histoire.
Elle indique par ailleurs avoir reçu un appel de l’avocat de Nafissatou Diallo : « Oui, nous nous sommes parlé au téléphone. C’était le 18 juillet à 9 h30 du matin, heure de Californie, 12h30 à New York.
La conversation a duré environ quarante-cinq minutes et s’est passée en présence de mon avocate américaine, Gloria Allred. Ses questions étaient vraiment salaces, chirurgicales. Il m’a proposé aussi de rencontrer sa cliente, mais j’ai refusé. »
Dans le récit de sa prétendue liaison avec DSK, elle précise : « Ça s’est terminé juste après Yom Kippour à la fin du mois d’octobre. Entre-temps, il était devenu ministre. C’était devenu compliqué entre nous. Je ne me voyais pas en maîtresse à vie. La relation était intense. Physique. »
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