Dominique Strauss-Kahn serait-il tombé dans un piège ?
C’est ce que laissent entrendre en sbstance certains politiques et internautes qui s’interrogent sur les réseaux sociaux, notamment Facebook et Twitter, sur la crédibilité de l’affaire.
Les questions qui reviennent fréquemment sont notamment les raisons pour lesquelles la femme de chambre n’a pas frappé à la porte?
Ou encore pourquoi DSK aurait-il pris un tel risque à quelques semaines seulement de sa très probable candidadure à la primaire PS
Des internautes ne comprennent pas non plus pourquoi l’information est d’abord sortie sur Twitter, avant qu’elle n’ait été rendue publique par le New York Post.
» c’est tellement français de voir des complots partout « .
L’inculpation de DSK favori dans les sondages a provoqué de nombreuses réactions aussi dans la classe politique française.
Lundi, la ministre de l’Ecologie a estimé sur Canal que la « victime avérée, c’est la France ».
Selon la ministre l’inculpation de DSK pour tentative de viol, est « très grave » et que la « victime avérée » dans cette affaire était « la France ».
« Je suis très surprise de voir à quelle vitesse en France on court à la conclusion politique sur un sujet qui est un sujet grave. En plus de la victime présumée, la femme de chambre, il y a une victime avérée, c’est la France » a estimé la ministre.
Ajoutant « Les conséquences politiques vont venir bien sûr mais en France, on y court en écartant les autres aspects », a-t-elle précisé .
« On est dans un sujet de droit, judiciaire, il y a une mise en accusation, les faits reprochés sont très graves, ce qui impose d’être d’autant plus prudent », a-t-elle poursuivi .
Et de conclure « Je fais confiance à la justice américaine (…) c’est tellement français de voir des complots partout, c’est quelque chose je crois qui est dans notre culture ».
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