Invité dimanche soir sur TF1, Luc Chatel, le ministre de l’Education nationale est revenu sur les importantes contestations survenues après la fuite de sujets du baccalauréat.
Le ministre a annoncé des mesures pour améliorer la « sécurité » des épreuves.
«Nous devons nous adapter aux nouvelles technologies», a estimé le ministre de l’Education nationale sur le plateau du 20h de TF1.
Si Valérie Pécresse ministre de l’Enseignement supérieur a évoqué sur Radio J, la possibilité d’interdire les smartphones dans les salles d’examens, Luc Chatel, souhaite «tous les maillons de la chaîne de sécurisation».
Valérie Pécresse a indiqué dimanche «Aujourd’hui, avec Internet, on a le risque de voir se propager les fraudes dans le grand public donc il va falloir qu’on réfléchisse».
Luc Chatel s’est engagé à faire une série de propositions «dès fin juillet ».
En excluant toute remise en cause du bac, Luc Chatel s’est dit attaché au «caractère national» et au côté «rite initiatique» du bac.
Le ministre a précisé: «Non, ce n’est pas la fin du baccalauréat».
» intégrer dans le règlement de nouvelles
formes de violences comme le harcèlement ».
En ce qui concerne les sanctions Luc Chatel a indiqué :
« L’idée c’est de replacer la règle et la sanction au cœur de la vie scolaire. La violence a évolué depuis quelques années. Il fallait donc intégrer dans le règlement de nouvelles formes de violences comme le harcèlement.
Il fallait aussi un aspect systématique de la sanction. En tous cas de la procédure disciplinaire.Donc à toutes de formes de violences verbales ou physique il y aura engagement de procédure disciplinaire.
Puis l’idée c’est de limiter le recours à l’exclusion qui est une solution de facilité parfois (…) donc la mesure d’ntérêt général constitue une alternative par rapport à cela avec une vocation éducative ».
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