Les plaintes de trois travailleuses sociales licenciées en 2010 pour « faute lourde » après des propos tenus sur Facebook jugés « injurieux, diffamatoires et menaçants » par leur employeur ont été classées sans suite par le parquet de Périgueux.
Par ailleurs, la plainte de l’employeur, SOS femmes, une association de défense de femmes victimes de violences conjugales a également été classée par le parquet « pour absence d’infraction ».
Une constitution de partie civile auprès du doyen des juges d’instruction de Périgueux serait envisagée par les trois ex-salariées.
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