Jacques Séguéla, vice-président de Havas était l’invité de Questions d’Info LCP/France Info/AFP pour s’exprimer sur le conflit qui oppose Alain de Pouzilhac à Christine Ockrent à la direction de France 24.
Alain de Pouzilhac a été président d’Euro RSCG et avait pour collaborateur Jacques Séguéla.
M. Séguéla a pris la défense de la numéro 2 de l’AEF, Christine Ockrent.
M. Séguéla a pris la défense de la numéro 2 de l’AEF, Christine Ockrent et a jugé « lamentable » et « ridicule le procès » qui lui est fait.
Jacques Séguéla a estimé qu’on accusait injustement Christine Ockrent, son « amie », « d’être allée chercher des secrets qu’elle a dans son ordinateur » et a dénoncé des « allégations attentatoires » à son « honneur ».
« Pourquoi elle aurait missionné quelqu’un à côté d’elle pour aller chercher des dossiers qu’elle a ? » s’est-il interrogé.
S’agissant d’ Alain de Pouzilhac, Jacques Séguéla a déclaré :
« Je connais Alain de Pouzilhac, qui a été mon président, qui a failli nous mettre en faillite à Euro RSCG, qui, si Vincent Bolloré n’était pas arrivé, serait vendu ».
« Pendant un an il m’a bourré le mou avec les mêmes procédés, les mêmes équipes, et j’ai vu le combat qu’il a fait à Vincent Bolloré. C’est un miracle que Vincent Bolloré n’en ait pas eu marre » a ajouté Jacques Séguéla.
« Quand il voit qu’il est acculé, il est prêt à tout. C’est ça la véritable histoire et il n’y a pas de raison que ce soit la plus grande journaliste soit traitée comme elle est traitée. C’est inadmissible » a poursuivi le publicitaire.
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