Une semaine après sa mise en examen liée à un trafic de stupéfiants et sa suspuenson d’antenne décidée par France Télévisions, Jean Luc Delarue s’est confié au magazine Gala :

« Je suis soulagé. Ça m’étonne moi-même d’ailleurs. Je me suis rarement senti aussi serein et apaisé. (…)

Je suis surtout sensible au fait que certains puissent être choqués ou blessés par cet aspect de ma vie qui est soudainement mis en avant » indique l’animateur.

(…) Mais qui n’est qu’un aspect de ma vie et non ma vie. Ca a toujours été quelques chose de solitaire, quelque chose dont je ne suis pas fier. Je tiens à dire à tous ceux qui seraient tentés de ne jamais commencer car de toutes façons, un jour il faudra arrêter ».

« On ne peut pas faire comme s’il ne s’était rien passé »

L’animateur producteur ajoute :  « C’est quelque chose de dangereux. Un cercle vicieux (…) duquel j’étais en train de sortir (…) Mon médecin pensait que c’était plus facile d’arrêter pendant une période de repos » poursuit Jean Luc Delarue.

Il précise : « On ne peut pas faire comme s’il ne s’était rien passé (…) Je ne minimise pas les faits. Dans suspension provisoire, il y a provisoire. J’ai la chance de ne pas être accro. Ces derniers mois, j’ai déjà arrêté de longues périodes. Ce troisième arrêt est définitif  » affirme l’animateur