L’ouverture d’une information judiciaire pour « agressions sexuelles et viols en réunion par personne ayant autorité » a été ordonnée mercredi à l’encontre de l’ancien secrétaire d’Etat Georges Tron.
Les faits qui lui sont reprochés sont passibles de la cour d’assises.
Après deux nuits de garde à vues à la police judiciaire de Versailles, il a été déféré à un juge d’instruction d’Evry dans l’après-midi en vue d’une possible mise en examen.
L’affaire a débuté après à la suite d’ accusations de deux anciennes employées de la mairie de Draveil (Essonne).
Selon l’un des avocats de Georges Tron, Olivier Schnerb, celui-ci a contesté lors de sa garde à vue les accusations portées à son encontre.
Selon Georges Tron ces accusations résultent d’une vengeance d’employées sanctionnées selon lui pour malversations ou insuffisances ainsi qu’ à un complot politique lié au Front national.
De nombreuses auditions à l’Hôtel de ville dans l’entourage Georges Tron ont été effectuées et des perquisitions au domicile de l’ancien secrétaire d’état ont été menées.
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