Georges Tron, secrétaire d’état à la Fonction publique et maire de Draveil dans l’Essonne serait visé selon Le Parisien par une plainte pour harcèlement sexuel déposée lundi par deux ex-employées municipales de la mairie de Draveil.
Georges Tron dit y voir une « vengeance personnelle »
Les plaintes concernent des faits qui se seraient produits entre janvier 2007 et septembre 2010.
Les deux ex-employées évoquent des gestes déplacés nombreux et fréquents de la part du maire.
Selon les témoignages des deux femmes, le maire sous prétexte de pratiquer la réflexologie et le massage des pieds en profitait pour leur caresser les pieds en toutes circonstances au point que ces gestes se seraient transformés en véritables agressions sexuelles.
Les deux victimes présumées indiquent être devenues dépressives et auraient tenté de mettre fin à leurs jours.
Le secrétaire d’état à la Fonction publique joint par Le Parisien a qualifié ces allégations de « délirantes ».
Georges Tron dit voir une « vengeance personnelle » dans cette action judiciaire en son encontre.
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