Jugé en appel pour le meurtre de son épouse Suzanne disparue en février 2000, une peine de 15 à 20 ans de réclusion a été requise vendredi par l’accusation contre le professeur toulousain Jacques Viguier.
En 2009, en première instance, l’avocat général a demandé la même peine.
C’est l’absence de preuve et d’aveu sur laquelle se fonde la défense : Il n’y a ni corps, ni preuves ni aveux dans ce dossier.
Pour sa part, l’accusation s’appuie sur des indices et sur le fait que l’accusé ait fait disparaître un matelas et n’ait pas indiqué qu’il avait retrouvé le sac à main de sa femme.
Le verdict est attendu samedi après-midi.
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