Le président du groupe UMP à l’Assemblée nationale, Jean-François Copé s’exprime samedi dans le Monde.fr et déclare quant à une droite qui serait inquiète au Parlement :
(Extraits)
Jean-François Copé : pour « notre électorat, le seul marqueur, en dehors des sondages d’opinion, ce sont les élections partielles, et on s’en sort plutôt bien »
Sur l’affaire Frédéric Mitterrand , Jean-François Copé déclare : « Si quelque chose m’a choqué, c’est d’abord l’attitude du PS, qui a embrayé sur les attaques sordides du FN. Frédéric Mitterrand s’est expliqué. Il m’a profondément ému, et j’ai trouvé qu’il avait fait preuve de beaucoup de dignité » .
« le « travailler plus » doit être complété par le « travailler mieux » »
Interrogé sur la polémique à propos de la promotion de Jean Sarkozy à la tête de l’EPAD, Jean-François Copé précise :
« J’ai, dès lundi, rappelé qu’il était élu, et donc légitime. Je l’ai fait d’autant plus volontiers que je trouve ces attaques personnelles ignobles… Et d’autant plus librement que, lui, ne m’a jamais ménagé dans ses propos. Je ne vais pas changer d’avis » .
Le président du groupe UMP à l’Assemblée nationale poursuit « Nous sommes à un moment-clé du quinquennat. La totalité des chantiers sur lesquels nous nous étions engagés ont été ouverts. Il faut fixer la suite, trouver une réflexion, un message de fond en proposant une nouvelle définition de ce que sont les valeurs de la droite française. Lorsque j’avais 30 ans, j’étais dans une logique de droite très classique, qui croit à la famille, au travail, à la performance. J’ai profondément évolué. Ces valeurs ne suffisent plus à définir ce que je pense. Face à la multiplication des suicides au travail, on voit bien que le « travailler plus » doit être complété par le « travailler mieux » » a-t-il déclaré.
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