L’homme de 51 ans qui avait été arrêté le 20 septembre dernier dans l’Hérault et qui est soupçonné d’être l’auteur des lettres contenant des menaces de mort, accompagnées de balles, adressées à Nicolas Sarkozy ainsi qu’à d’autres personnalités dont plusieurs élus locaux et ministres, a été remis en liberté mardi par la cour d’appel de Paris.

L’homme reste mis en examen pour « menaces de mort matérialisées par des écrits et objets » et « infraction à la législation sur les munitions ».

Le parquet avait requis son placement sous mandat de dépôt en raison du « risque de réitération des faits » que présentait l’homme. Mais son avocat avait demandé à ce que son client, handicapé et sans emploi, soit remis en liberté ou soit suivi à l’hôpital.