Laurent Amar, PDG de Monceau Fleurs était l’invité mercredi d’Hedwige Chevrillon sur BFM Radio.Laurent Amar estime qu’en temps de crise, les gens s’invitent plutôt que de se rendre au restaurant.
Le bouquet de fleurs redevient ainsi indispensable selon le PDG de Monceau Fleurs.
Laurent Amar : « Nous avons une chance formidable : en période de crise, nous avons tendance à aller moins au restaurant et nous nous invitons plus chez les uns et les autres, car cela coûte moins cher.
Et là le rapport somme dépensée/plaisir procuré va jouer en notre faveur, parce que lorsque vous allez être invité, vous allez hésiter entre trois biens à offrir : des fleurs, des spiritueux, des chocolats ou pâtisseries.
Avec nos prix d’entrée à 1,90 euro la botte de roses, nous avons un rapport somme dépensée/plaisir procuré qui est assez imbattable, parce que si vous essayez d’arriver avec une pâtisserie ou du chocolat à ce prix-là, vous allez avoir une tablette de chocolat de marque blanche.
En plus, ce produit est assez fantastique parce que vous pouvez être millionnaire, arriver avec une orchidée que vous avez payé moins de quatre euros et on ne vous jugera pas. C’est un produit d’affect, c’est un produit que l’on ne juge pas.
En même temps, en période de crise les Français peuvent être tentés de faire une croix sur le superflu et d’arriver simplement avec un grand sourire » a déclaré Laurent Amar.
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