La Société Générale affiche un recul de 23,4% de son bénéfice au premier trimestre 2008, à 1,1 milliard d’euros. Malgré la crise des subprime et l’affaire Kerviel, le groupe bancaire a démenti les prévisions des analystes. Le groupe souligne pour ce trimestre sa « résistance et sa capacité de rebond ». La crise des crédits américains a coûté 513 millions d’euros à la Société générale qui a compensé ces pertes par une plus-value de 602 millions d’euros liée à sa filiale de courtage « Newedge » que le groupe a créé avec le Crédit Agricole.