Le président de la République est notamment revenu lors de son entretien télévisé du 14 juillet, sur les 8000 suppressions d’emplois chez PSA, la moralisation de la vie politique, la fiscalité, la nomination de Jean-Pierre Jouyet mais aussi sur le tweet de sa compagne Valérie Trierweiler.
Interrogé depuis l’Hôtel de la Marine et non l’Élysée, « pour qu’il y ait une plus grande liberté ». F.Hollande a dit vouloir renouer avec cet exercice de l’interview du 14 juillet que Nicolas Sarkozy avait lui choisi d’abandonner.
Le chef de l’État a répondu qux questions des journalistes Claire Chazal et Laurent Delahousse, et a dressé un bilan de ses premiers mois à l’Élysée et a notamment évoqué longuement PSA :
« L’État ne laissera pas faire » a t-il après l’annonce des 8.000 suppressions d’emplois chez PSA. « Ce plan dans l’état est inacceptable […] Il doit être renégocié […] Il ne doit y avoir aucun licenciement sec ».
Pour François Hollande, il y a eu « mensonge », car « ce plan n’a pas été annoncé -plus tôt- alors qu’il était déjà prévu » et que cette annonce a été « reportée après la présidentielle ».
François Hollande a contesté pouvoir empêcher la fermeture du site d’Aulnay mais « nous pouvons faire en sorte qu’il reste un site industriel » a t-il déclaré.
Le chef de l’état a par ailleurs évoqué un dispositif automobile pour favoriser l’achat de voitures fabriquées en France.
La hausse de la CSG n’est qu’une piste « parmi d’autres »
La hausse de la CSG n’est qu’une piste « parmi d’autres » a estimé François Hollande qui a dit n’écarter aucune ressource et ne pas prévoir de « prélèvements supplémentaires pour la grande majorité des Français ».
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