Le gouvernement a réagi lundi à la polémique qui a fait suite au meurtre d’Agnès une collégienne de Chambon-sur-Lignon en Haute-Loire.
Le gouvernement a ciblé la prévention de la récidive comme « priorité absolue » et annoncé qu’un projet de loi sera présenté dès mercredi sur « l’évaluation de la dangerosité » des délinquants.
Un lycéen de 17 ans ayant déjà été mis en examen pour viol dans une précédente affaire a avoué être le meurtrier d’Agnès, 13 ans.
Une polémique a été lancée dimanche par la direction de l’établissement du Chambon-sur-Lignon qui a assuré ne pas avoir été pleinement informée de cet antécédent judiciaire.
Sur RTL la porte-parole du gouvernement, Valérie Pécresse a déclaré « Nous avons tous été bouleversés par le drame ».
Lundi sur Europe 1, la mère d’Agnès a indiqué que le drame aurait « pu être évité avec un tout petit peu moins de négligence ».
La famille de la première victime s’est interrogée : « Comment a-t-on pu remettre ce monstre en liberté ? ».
Le père d’Agnès avait assuré dimanche que la direction de l’établissement « était au courant » du passé du meurtrier présumé.
Albert Munoz, administrateur du collège-lycée a réagi en déclarant que « les parents étaient dans la douleur et ne peuvent dire autre chose que ce que dit le procureur ».
La mère d'Agnès : "la direction aurait pu être… par Europe1fr
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