En cas de sortie de la Grèce de l’euro, le pays reprendrait son ancienne monnaie qu ‘elle pourrait dévaluer ce qui lui permettrait de re-stimuler ses exportations et cela créerait un espoir à travers la reprise de la croissance avec la stimulations de ses exportations par la dévaluation du Drachme.

Revers de la médaille cette situation alourdirait les dettes libellées en euro.

Etranglées les entreprises n’auraient pas d’autres choix que de baisser les salaires voir de licencier pour survivre.

Les banques non plus ne seraient pas épargnées et seraient confrontées à la panique des Grecs voulant récupérer leur avoirs en euro plutôt qu’en Drachme dévalué.

En France des banques restent exposées à la dette grecque. Le secteur financier et non financier qui disposent d’actifs et de fond en Grèce ne seraient pas non plus épargnés.

Coup dur également pour les pays de la zone euro le plus en difficulté comme l’Espagne ou le Portugal. Avec la crainte d’une contagion de la crise, des pays qui pourraient à leur tour être tentés de sortir de la zone euro.

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