Après la décision du Conseil constitutionnel qui a jugé l’interdiction du mariage homosexuel conforme à la Constitution le renvoi au législateur la responsabilité de décider d’un éventuel changement dans la législation, plusieurs politiques.
Noël Mamère (EEV), député-maire de Bègles qui avait célébré en 2004 le premier « mariage » homosexuel qui a été annulé en 2007, s’est félicité vendredi de ce que le Conseil constitutionnel « ne ferme pas la porte à l’ouverture du mariage aux couples de même sexe ».
M. Mamère a à l’AFP. La décision du Conseil vendredi, qui déclare conforme à la Constitution l’interdiction du mariage homosexuel mais renvoie au législateur la responsabilité de décider d’un éventuel changement de la loi, « ne m’étonne pas », a ajouté Noël Mamère.
La décision » est conforme à celle qui avait été prise, il y a quelques semaines,
sur l’homoparentalité ».
« Elle est conforme à celle qui avait été prise, il y a quelques semaines, sur l’homoparentalité ».
« elle est intéressante car elle ne ferme pas la porte à l’ouverture du mariage aux couples de même sexe », a-t-il ajouté, soulignant qu' »elle renvoie à un débat législatif » a poursuivi le député-maire de Bègles.
Selon M. Mamère ce débat « n’aura pas lieu avant les élections présidentielles », a-t-il affirmé, « dans la mesure où le président de la République et son gouvernement vont braconner sur les terres de l’extrême droite et donc se rétractent sur des valeurs très conservatrices ».
« Elle est conforme à celle qui avait été prise, il y a quelques semaines, sur l’homoparentalité ».
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